Boaz

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RuthBoazPoussin.jpg

Boaz (Hébreu בעז, Boʾaz; Grec: Βόες, Boes; Latin: Booz; « Nom veut dire::par la force ») (né ca. Né(e)::2568 AM, m. Marié(e)::Tammouz 2692 AM) était un propriétaire riche et influentiel en Bethléem et ancêtre direct de ancêtre de::Jésus-Christ. Il est mieu remémoré pour son mariage à Ruth la Moabite.[1][2]

Histoire

Élimélec et Naomi

Boaz a véçu durant les derniers ans de Josué, la période d'anarchie et débauche qui a suivi sa mort, les régimes oppressifs de Cuschan Rischeathaïm et Églon, et les administrations des Juges Othniel et Éhud. L'administration d'Éhud était la plus longue, mais la famine était une menace commune au pays d'Israël.

Boaz et Élimélec paraissent s'être trouvé face au challenge de famine en ou environ 2682 AM, mais avoir réagi différemment. Boaz a resté et a géré sa propriété, mais Élimélec a fui, avec sa femme et deux fils, à un pays étranger. Élimélec et mort, et ses deux fils se sont mariés avec des femmes étrangères. Dix ans après, ils sont morts aussi.

Boaz probablement n'a pas entendu parler tous les détails immédiamment, mais au printemps de 2692 AM il a entendu parler que la veuve d'Élimélec, Naomi, a eu retourné à Bethléem, avec sa belle-fille moabite, Ruth. (Son autre belle-fille Orpa a eu resté en Moab.) Que Ruth a eu quitté son pays et sa famille, et était venue à Israël avec l'intention d'embrasser la vraie foi de Dieu, a fait une très bonne impression sur lui. Il probablement s'inquiétait aussi que la propriété d'Élimélec s'était délabrer, que Naomi ne pourrait pas la gérer correctement, et que cettes deux femmes était en une situation financière très difficile et probablement seraient forcées de vendre leure propriété.[3][4]

Ruth

Vers le commencement du moisson des orges, Boaz a visité ses champs. Il a salué ses moissoneurs, et puis a remarqué une femme qu'il n'a pas eu vue avant. Il a enquéri du chef d'équipe à propos d'elle, et le chef l'a identifié comme Ruth la Moabite, qui a eu demandé de permission de glaner dans ses champs. (Ruth 2:4-7 )

Comme n'importe quel autre propriétaire consciencieux, Boaz gérait ses champs selon la loi de glanage, qui prévoyait que le propriétaire avait le devoir de laisser à moins quelque quantité de son moisson pour les gens démunies de ramasser de nourriture pour soi. (Lévitique 19:9-10 Mais Boaz a décidé de recompenser cette étrangère avec plus que la loi exigait.[4] Il a donné d'abord des ordres strictes que personne dans son emploi n'était pas permis d'aggresser Ruth ou sexuellement ou en aucune autre façon—probablement la première politique documentée contre le harcèlement sexuel au lieu de travail.[5] Puis il a interdit personnellement à Ruth de glaner dans aucun autre champ qu'un des siens. Pour compenser pour cela, il a ordonné à ses moissoneurs de la permettre de glaner vers les gerbes et même de tirer du grain des gerbes et le laisser tomber sur le terrain afin qu'elle le ramasse. En outre il a permis à elle de boire des réserves d'eau pour les travailleurs quand elle en avait besoin, et même l'a invité de déjeuner avec ses servantes. (Ruth 2:8-9,14-16 )

Ruth s'est prosternée devant Boaz et lui a demandé pourquoi il devrait rendre tel service à elle. Boaz a pris l'occasion de la remercier pour les services qu'elle a eu fait pour Naomi, et pour remarquer sur la mesure difficile qu'elle a eu prise en quittant sa famille et son pays et entrer dans la résidence parmi un peuple qu'elle ne conaissait pas. (Ruth 2:10-11 )

Rencontre de nuit

Boaz a permis à Ruth de continuer de glaner durant ses moissons d'orges et de blé. S'il l'a vue encore après cette première rencontre, la Bible ne le dit pas. Mais le soir qu'il a vanné ses moissons en l'aire de vannage du village, il s'est couché à coté d'un tas de grain. Et au milieu de la nuit il s'est réveillé et a découvert que ses pieds étaient découverts et une femme se couchait à ses pieds.

Surpris, il a demandé à la femme qui elle était. Elle s'est identifiée comme Ruth, et puis, en une manière franche, lui a demandé d'étendre la jupe de sa robe sur elle, un idiome hébreu pour le mariage. En la même phrase, elle lui a demandé d'exécuter la fonction d'un racheteur (Hébreu : גאל, ga'al)

Selon la loi mosaïque, le parent mâle le plus proche d'aucun Israélite forcé par circonstance financier de vendre ou hypothéquer sa propriété avait le devoir d'acheter cette propriété afin qu'elle resterait en la famille. En outre, si un homme était mort et n'avait laissé rien de descendance, le parent proche avait le devoir de se marier avec la veuve de l'homme, et leur fils premier-né hériterait la propriété. Élimélec était mort et avait laissé deux fils, et maintenant les deux fils était morts, mais Ruth, la veuve d'un d'eux, était en droit de se marier avec un parent-racheteur, ou ga'al, afin qu'elle ait pu avoir un fils qui pourrait hériter la propriété.[6][7]

Boaz ne paraît pas s'être attendu à ce que Ruth fasse une telle demande à lui. Dans la mesure où on peut inférer de son propre héritage et le nombre de générations entre son père et son descendant David, Boaz avait probablement 124 ans lorsque cette conversation a eu lieu. Pour sa part, Ruth ne s'obligait pas de se marier avec le parent-racheteur si elle préférait se marier avec un autre. La loi lévirate comme déclarée en Deutéronome 25:5-10 a prévu une punition pour un homme qui refuserait un mariage lévirat ou similaire, mais n'obligait pas une veuve de demander un tel mariage.

Ainsi, Boaz, comme il a dit à Ruth, s'attendait ce qu'elle ait cherché un homme beaucoup plus jeune avec lequel se marier. (Ruth 3:10 ) Au lieu elle lui a demandé de se marier avec elle, et lui a demandé aussi d'être son racheteur.[2]

Plusieurs commentateurs ont suggéré que Boaz a eu tombé amoreux avec Ruth, et elle avec lui.[4] C'est spéculation pure. Les premiers mots que Boaz ont parlé étaient de louer Ruth pour montrant plus de gentillesse à Naomi qu'elle a eu montré avant, en acceptant la responsabilité de produire un héritier à la propriété presque défunte, et en venant à lui comme mari prospectif approprié. Boaz sans doute trouvait un mariage avec Ruth un espoir agréable. Elle le trouvait agréable aussi sans doute. Mais les mots que Boaz utilisait indiquent que leures relations n'ont pas commencé avec l'amour commun, alors qu'elles peut-être sont devenues amoreuses depuis longtemps. Au lieu, il cherchait une occasion pour aider Naomi et Ruth en préservant la dignité aux tous les côtés. Avec la demande formelle de Ruth à lui, il en avait une.

En tout cas, Boaz a accepté sans hésiter d'aider Ruth en n'importe quelle façon en laquelle elle demanderait. Mais il se rappelait qu'Élimélec avait un autre parent vivant plus proche que lui (sans doute un premier cousin).[5] Boaz a dit qu'il demanderait à l'homme le lendemain s'il serait de bonne volonté de racheter la propriété. Pour le moment, il a permis à Ruth de se coucher près de lui jusqu'au matin.

Le lendemain, il a donné un order, sans doute à ses moissoneurs, de ne pas révéler à personne qu'une femme était venue à l'aire de vannage.[5] (Ruth 3:14 ) Il a donné aussi à Ruth six mesures d'orges pour prendre chez elle. (La mesure concernée peut-être était le séa, qui était une troisième partie d'une épha.[5])

Rachat

Aussitôt que Ruth l'a quitté, Boaz est venu tout de suite à la porte de la ville, où les citadins avaient l'habitude de négocier leures affaires, et sourtout les affaires légaux. Il a attendu que parent innomé (Hébreu : פלני אלמני, pĕloniy 'almoniy, ou littéralement, « M. Untel »[5][8]) vint à la porte, et lui a demandé de s'asseoir avec lui. Puis Boaz a appelé dix conseilleurs de ville de s'asseoir aussi; il les voulait comme témoins. Il ne fallait pas avoir de témoins, mais Boaz évidemment voulait ne laisser aucune doute que ce qu'il voulait faire était légal. (Ruth 4:1-2 )

Il a avisé l'homme que Naomi était contrainte à vendre la propriété de son mari, que l'homme était le parent le plus proche à Élimélec et donc avait le premier droit de rachat, et que Boaz en avait le drois si l'homme le déclinerait. (Ruth 4:3-4 )

L'homme a dit d'abord qu'il racheterait la propriété. Sa première réponse a suscité beaucoup de spéculation en soi, à l'effet que l'homme sans doute voyait une occasion d'acquérir catégoriquement la propriété, car Naomi avait sans doute plus que l'âge d'accouchement.

Puis Boaz a dit que l'homme qui acheterait la propriété devrait aussi se marier avec Ruth pour élever un fils qui hériterait la propriété. (Ruth 4:5 ) Cette déclaration a causé l'homme d'hésiter.[5] Il a renoncé son droit de rachat en faveur de Boaz, en disant qu'il ne pouvait pas racheter la propriété sous cette condition, car faire tellement mettrait en péril son propre héritage. (Ruth 4:6 )

Le refus du parent innomé a suscité de spéculation aussi. Quelques commentateurs disent qu'il a refusé car il ne pourrait pas récoupérer sa prix d'achat si la propriété passerait tout de suite à un fils et rester distincte de sa propre propriété. Des autres disent qu'il hésitait car Ruth était étrangère, et en outre originaire de Moab, une nation qui a dérangé la paix d'Israël assez souvent que Dieu a interdit Son peuple de se marier avec des Moabites.[3] Le second argument est plus faible car alors que Ruth était née Moabite, elle a eu converti catégoriquement à vénérer le Vrai Dieu, et dans ce sense elle n'était plus Moabite—alors que quelques commentateurs ont suggéré que Boaz interprétait l'interdiction contre le mariage mixte avec les Moabites comme applicable seulement aux hommes moabites.[3]

Boaz a accepté la renonciation par l'autre homme. Pour rendre officielle cette renonciation, l'autre homme a ôté son soulier et l'a présenté à Boaz.

Boaz s'est marié avec Ruth, apparemment en l'été de 2692 AM. Ruth est devenue enceinte presque immédiamment, et au printemps suivant, Ruth et Boaz ont eu un fils, nommé Obed.

Généalogie

 
 
 
 
 
 
 
fils de::Salmon
 
fils de::Rahab
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Grand-père
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Père
 
 
 
 
 
Oncle
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Élimélec
 
Naomi
 
Innommé
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Orpa
 
Kiljon
 
Machlon
 
mari de::Ruth
 
Boaz
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
père de::Obed

Boaz était fils de Salmon et Rahab. Il était aussi le grand-oncle d'un autre propriétaire proéminent nommé Élimélec et à cette cause il aété solicité de racheter sa propriété.

En autre littérature

Quelques des sages rabbiniques ont identifié Boaz avec le Juge Ibzan, et suggèrent qu'il a perdu tous ses enfants après qu'il a échoué de démontre le respect attendu à Manoah, le future père du Juge Samson. Josèphe a suggéré que Boaz était contemporain du souverain sacrificateur Éli.[3][9]

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Références

  1. Jastrow M, Eerdmans B, Jastrow M, et Ginzberg L, « Boaz, » The Jewish Encyclopedia, 1906. Accédé le 24 janvier 2009.
  2. 2,0 et 2,1 Blank W, « Boaz, » Daily Bible Study, n.d. Accédé le 24 janvier 2009.
  3. 3,0 3,1 3,2 et 3,3 Barton GA, et al., « Ruth, Book of, » The Jewish Encyclopedia, 1906. Accédé le 20 janvier 2009.
  4. 4,0 4,1 et 4,2 « Ruth, Naomi and Boaz: A Story of Loyalty and Love, » Women in the Bible, n.d. Accédé le 22 janvier 2009.
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 et 5,5 Constable TL, "Notes on Ruth," SonicLight.com, 2009. Accessed January 22, 2009.
  6. Jacobs J, et al., « Go'el, » The Jewish Encyclopedia, 1906. Accédé le 20 janvier 2009.
  7. Schechter S et Jacobs J, « Levirate marriage, » The Jewish Encyclopedia, 1906. Accédé le 20 janvier 2009.
  8. « The Story of Ruth, » OU.org, n.d. Accédé le 20 janvier 2009.
  9. Josèphe, Antiquités, 5.9.1