Acan

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Acan (Hébreu עָכָ֣ן) or Acar (Hébreu עָכָר֙, Nom veut dire::ennuyeux) (Né(e)::2495 AMMort(e)::25 Aviv 2553 AM) était l'Israélite qui a enfreint une interdiction des bons dédiés aux dieux païens. Son acte a amené de péché dans le camp d'Israël afin qu'Israël n'a pas réussi à atteindre une objective clé militaire.

Généalogie

 
 
 
 
 
descendant de::Juda
 
descendant de::Tamar
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pérez
 
descendant de::Zérach
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
petit-fils de::Zabdi
 
Éthan
 
Héman
 
Calcol
 
Dara
 
 
 
 
 
fils de::Carmi
 
 
 
 
 
Acan

Date de naissance

Les seuls indications que la Bible donne quant à la date de naissance d'Acan sont indirectes. Car la plupart des espions de Josué ont fait un rapport démoralisant de la situation en le terrain en Canaan, Dieu a édicté que personne adulte israélite vivant dans ce temps-là vivrait pour entrer dans le Pays Promis, sauf Josué et Caleb le Kenizzite. Ainsi Acan est né en 2495 AM ou plus tard, afin qu'il n'était pas adulte en cette année. L'année du rapport des espions était un an après l'Exode d'Israël.

Mort

Le 15 Aviv 2553 AM, la nation d'Israël a observé la première Pâque dans le nouveau pays. (Josué 5:10 ) Le lendemain, ils ont mangé les premiers produits du terrain, et la provision de la manne a cessé. (Josué 5:11-12 ) Les Israélites ont passé les sept jours suivants en marchant autour de la ville de Jéricho et enfin la prenants et la détruisants. (Josué 6:1-16 )

Dieu a ordonné spécifiquement que les Israélites ne piller pas la ville. Au lieu, ils étaient ordonnés de placer tout l'argent et or et articles de laiton et fer dans la trésorerie du Tabernacle, et détruire tout d'autre dans la ville. Ils étaient ordonnés aussi de tuer chaque homme, femme, enfant, et bétail dans la ville, sauf Rahab et ceux vivants chez elle, car elle a eu caché les espions que Josué a eu mis dès le départ à Jéricho.

Mais Acan a enfreint l'interdiction. (Josué 7:1 ) Spécifiquement, il a volé deux cent sicles d'argent, un lingot d'or de cinquante sicles, et une mante de Babylonie. Il a caché cette contrabande dans sa tente. (Josué 7:20-21 )

Le jour après la bataille de Jéricho (23 Aviv), Josué a envoyé des espions à Ai. Ils ont rapporté que trois milles soldats peuvent conquérir facilement la ville; c'était probablement une appréciation trop confiante.[1][2] Ainsi Josué a envoyé trois mille soldats pour attaquer Ai (24 Aviv), et ils ont fui en retraite en désordre après qu'ils n'ont subi que trente-six pertes. (Josué 7:2-5 )

Josué s'est déchiré les vêtements et s'est prosterné devant l'arche de l'engagement. Il a prié à Dieu, pas tellement à cause de la défait d'Israël, mais au lieu à cause du mal fait à la réputation de Dieu.[2] Puis Dieu a dit à Josué qu'Israël a eu subi une défaite militaire car quelqu'un a eu enfreint Ses ordres à propos des bons interdits de Jéricho. Dieu a ordonné à Josué de conduire une enquête par tirant au sort le lendemain.

Le lendemain (25 Aviv) Josué a fait venir tous les Israélites et a commencé son enquête. Le premier tirage au sort a indiqué la tribu de Juda, et le deuxième a indiqué le clan de Zabdi. Puis Josué a examiné chaque membre de ce clan, et les tirages au sort ont impliqué Acan.

Josué a ordonné à Acan de confesser, et Acan a admit à son vol. Ainsi Josué a pris les contrabandes, et aussi a fait venir Acan et son ménage entier à une vallée d'à côté. Les Israélites y ont lapidé Acan, tous les membres de son ménage, et tous ses bétaiils, et ont brûlé les corps et les contrabandes. La cholère de Dieu a été apaisée, et la vallée s'appelait dès comme la Vallée d'Acor, ou littéralement la Vallée d'Ennui. (Josué 7:22-26 )

Commentaire

Matthew Henry[2] et Adam Clarke, en commentant à propos de cette histoire, identifient nombreux points que l'histoire soulève:

  1. Le besoin de se séparer du monde et ses concernes et ne pas participier à ses péchés.
  2. La folie de s'attendre de garder secret aucune chose de Dieu.
  3. La futilité de garder un gain mal acquis, une futilité qui est le résultat du besoin de le cacher.

L'exécution du ménage entier d'Acan se justifie car Acan ne pourrait garder secret son transgression de sa famille, et donc tout le monde dans son ménage doit y avoir été complice.[2] Mais Clarke le doute, et cite Deutéronome 24:16 pour raisonner que les enfants d'Acan ne pourraient pas subir de punition sinon ils soient définiement complices.[1]

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Références

  1. 1,0 et 1,1 Clarke, Adam. « Commentary on Joshua 7. » The Adam Clarke Commentary, 1832. Accédé le 13 janvier 2009.
  2. 2,0 2,1 2,2 et 2,3 Henry, Matthew, « Joshua 7, » Matthew Henry's Concise Commentary on the Bible, n.d. Accédé le 13 janvier 2009.


Voyez aussi