Voyager 2

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Voyager 2
Voyager.jpg
Conception artistique d'un vaisseau de série
Voyager
Partie de: Membre de::Projet Voyager
Autorité de lance NASA
Autorité de contrôle JPL
Type de mission Type de mission::rendez-vous
Premier objectif Premier objectif::Jupiter, Premier objectif::Saturne,
Premier objectif::Uranus, Premier objectif::Neptune
Date de lancement Date de lancement::20 août 1977
NSSDC ID NSSDC ID::1977-076A
Site du projet site du projet Voyager
Masse Masse de sonde::721,9 kg
Puissance Puissance de sonde::420 W

Voyager 2 ou Mariner 12 est fusée-sonde de NASA, lancée en 1977 originellement pour visiter les planètes géantes gazeuses Jupiter et Saturne. Une trajectoire très favorable qui était le résultat de son rendez-vous avec Saturne a convaincu les contrôleurs de mission à éteindre la mission pour visiter aussi Uranus et Neptune. Les découvertes surprenantes qu'a fait ce vaisseau, et spécialement ses rendez-vous avec quatre géantes gazeuses, la faisent la fusée-sonde la plus productive jamais lancée.

Spécifications techniques

Voyager 2 est vraiment une sonde de la série de Projet Mariner ayant une masse de 721,9 kg. Elle sérive sa puissance de trois générateurs thermiques de radio-isotope (en anglais, Radioisotope Thermal Generator, abrégé comme RTG), qui fournient 420 W de puissance des systèmes de Voyager.[1]

Histoire de la mission

[[Objectif::{{#ask:Mission visitante::Voyager 2|link=none|limit=250|sep=| ]][[Objectif::}}| ]]Bientôt en les 1970s, les astronomes de NASA ont réalisé que les planètes extérieures s'aligneraient à une manière qui permettrait à une fusée-sonde de visiter toutes les quatres géantes gazeuses en un laps court en employant une petite quantité de masse de réaction. Ce sorte d'alignement favorable se passe une foie en 175 années.[2] NASA a projeté d'abord conduire un « Grand Tour » des géantes gazeuses en employant quatre sondes en total. Mais un tel projet s'est jugé trop cher, et NASA a donc décommandé le « Projet Grand Tour » et a conçu un projet plus limité, le Projet Voyager, employant deux sondes pour étudier seulement Jupiter, Saturne, et leurs systèmes respectifs des lunes et anneaux.[2] Puis ils ont chané les noms des dernieurs deuz sondes en la série Mariner à Voyager 1 et Voyager 2 et ont préparé chacune pour une nouvelle mission limitée.

Voyager 2 s'est lancée d'abord, mais en une trajectoire plus lente afin qu'elle était la seconde des deux sondes d'arriver à Jupiter et Saturne. Les projeteurs de mission ont projeté aussi le sentier de vol de Voyager 2 pour permettre à elle de visiter Uranus et Neptune.

Voyager 2 est arrivée à Jupiter le 9 juillet 1979, et à Saturne le 25 août 1981. Les deux rencontres se sont jugées réussites, bien que Voyager 2 a subi un échec de son émetteur primaire. Les contrôleurs de mission ont tenu soigneusement Voyager 2 en un sentier qui la mettrait à Uranus. Après le rendez-vous avec Saturne, les contrôleurs ont réalisé que tous les instruments de Voyager 2 opéraient encore. NASA a éteint la mission deux fois, pour permettre à une rencontre avec Uranus et une avec Neptune.[2] La mission éteint a exigé de correction extensive et innovante et l'émission reculée des logiciels de la sonde.[3]

Voyager 2 est arrivée à Uranus le 24 janvier 1986, et à Neptune le 25 août 1989. Avec le rendez-vous avec Neptune, la sonde s'est tourné au sud et a atteint la vitesse d'évasion. Voyager 2 vole au cadeau au-dehors du système solaire et s'achemine 48 degrés au « sud » à une vitesse de 470 millions de kilomètres par année.[2]

La mission de Voyager 2 continue au cadeau (2 juillet 2008) et s'atteint à continuer à moins une autre décennie.[2][3] Voyager 2 a traversé la gaine de soleil, ou choc de termination, le 30 août 2007 et a donc joint Voyager 1 comme un de deux vaisseaux remettrant de données de l'espace interstellaire.[4][5] La mission continera tant que ses RRTTGG peuvent fournir de puissance suffisante pour opérer ses senseurs primaires. Des devis fiables disent qu'en 2020 Voyager 2 n'aura plus de puissance suffisante pour opérer ses systèmes.[6]

Faits accomplis scientifiques

Les découvertes faites par les sondes Voyager 1 et 2 sont extensives et spéctaculières. Une liste court de celles inclut:[1]

  • Vingt-deux satellites prévieusement indécouvertes des quatre géantes gazeuses
  • Aurores à Jupiter, Saturne, et Neptune
  • Anneaux de Jupiter
  • Volcanisme en Io
  • Les formations comme rayons de roue en l'anneau B de Saturne, et une structure tressée en l'anneau F de Saturne.
  • Deux anneaux prévieusement insoupçonnés d'Uranus
  • Les anneaux de Neptune découverts être complèts et pas interrompus
  • Des éruptions comme geysers en Triton

Les découvertes scientifiques les plus importantes au débat entre le créationnisme et l'uniformitarianisme étaient les découvertes des champs magnétiques d'Uranus et de Neptune. Les uniformitariens n'ont pas eu prédit que ces champs existeraient. Russell Humphreys a eu prédit leur existence et leur force,[7] et Voyager 2 a justifié complètement son modèle.[8] L'angle formidable entre les axis magétique et rotationnel des deux géantes gazeuses a surpris pareillement les créationnistes et les uniformitariens.[8]

Galerie

Références

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  1. 1,0 et 1,1 Bell, Edwin V. « NASA Voyager Project Information. » National Space Science Data Center, NASA, 11 mars 2008. Accédé le 2 juillet 2008.
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 Angrum, Andrea. « Voyager - Science - Planetary Voyage. » JPL, NASA, 23 mars 2004. Accédé le 2 juillet 2008.
  3. 3,0 et 3,1 Leech, Jon. « Space FAQ 08/13 - Planetary Probe History. » 5 mars 2003. Accédé le 2 juillet 2008.
  4. « Voyager 2 Proves the Solar System is Squashed. » NASA bulletin 07-78, 10 décembre 2007. Accédé le 2 juillet 2008.
  5. Angrum, Andrea. « Voyager - Mission - Fast Facts. » JPL, NASA, 21 février 2008. Accédé le 2 juillet 2008.
  6. Arnett, Bill. « Spacecraft. » The Nine8 Planets, 18 janvier 2005. Accédé le 2 juillet 2008.
  7. Humphreys, D. R. « The Creation of Planetary Magnetic Fields. » Creation Research Society Quarterly 21(3), décembre 1984. Accédé le 29 avril 2008.
  8. 8,0 et 8,1 Humphreys, D. R. « Beyond Neptune: Voyager II Supports Creation. » Institute for Creation Research. Accédé le 30 avril 2008


Voyez aussi